L’écriture et le système gustatif
le 10 janvier 2014 | par Philippe Roi et Tristan GirardPar Philippe Roi(1), Tristan Girard(2), Béatrice André-Salvini(3), Jean-Daniel Forest(4)†, Annick Faurion(5)
(1)Chercheur en Sciences Cognitives, spécialisé en Archéologie Cognitive ; (2)Chercheur en Sciences Cognitives ; (3)Conservateur Général, Directeur du Département des Antiquités Orientales du Musée du Louvre, Spécialiste des textes mésopotamiens ; (4)Spécialiste du Proche-Orient Ancien, Chercheur au CNRS, Enseignant à l’Université Paris I Panthéon-Sorbonne ; (5)Docteur d’État ès Sciences, Chargée de Recherche au CNRS, Laboratoire de Neurobiologie Sensorielle, EPHE.
Relecture : André Holley (Docteur d’État ès Sciences Naturelles, Professeur de Neurosciences et ancien Directeur du Laboratoire de Physiologie Neurosensorielle, CNRS).
Dans la seconde moitié du 4e millénaire avant notre ère, la complexité du nouvel ordre social, liée à l’essor de l’urbanisme, entraîne l’invention de l’écriture. Ce nouvel instrument d’organisation apparaît dans plusieurs cités du sud de la Mésopotamie, et en premier lieu à Uruk où plus de cinq mille étiquettes et tablettes en argile ont été mises au jour depuis la fin des années 1920. Il ne s’agit pas de signes comme on en trouve dans les grottes paléolithiques ou sur les plaquettes syriennes récemment découvertes, mais d’un véritable langage organisé, codifié, avec des pictogrammes faisant l’objet d’un usage répété qui s’inscrit dans un contexte social et symbolique. Quelques pièces éparses ont été pareillement exhumées plus au nord, à Djebel Aruda, Habuba Kabira et Tell Brak. Ce phénomène de diffusion, dans une région dominée par la culture urukéenne, atteste que l’écriture s’inscrit dans le grand courant des découvertes qui entourent l’apparition de l’État. Les premiers signes graphiques reflètent, dans leurs formes et dans leurs significations, les concepts et les symboles de la société qui les conçoit. L’argile, principale ressource de la Mésopotamie, en est le support privilégié et imposé. Les signes sont d’abord gravés dans l’argile fraîche avec un outil pointu puis, en raison de la consistance du support, ils sont rapidement imprimés avec un calame taillé en biseau. Cette forme d’écriture dite cunéiforme – du latin cuneus qui signifie « coin » – est attestée dès la première phase de l’écriture – Uruk IV vers 3400-3200 – et devient plus courante à la phase suivante – Uruk III vers 3200-3000 (1). Par la suite, les signes évoluent, mais s’éloignent de leurs formes et de leurs significations premières. Le système est à l’origine logographique ou idéographique, ce qui signifie qu’un signe représente un mot ou une idée. Le but poursuivi par les inventeurs de l’écriture est de remplacer par des signes graphiques des informations verbales afin de suppléer aux faiblesses de la mémoire et de pouvoir les échanger sans recourir à la voix. Les premiers symboles se classent en trois groupes, auxquels s’ajoutent des marques numériques. On rencontre d’abord les signes réalistes représentant une partie ou la totalité d’un objet, comme un épi pour figurer des céréales, ou une jarre pour représenter la bière. Certains de ces signes s’inspirent directement de jetons d’argile en trois dimensions, qui furent longtemps associés à tort aux jetons de comptabilité – calculi – et à leurs bulles d’argile. La confusion est d’autant plus surprenante qu’il n’existe aucune bulle d’argile portant des empreintes de jetons figuratifs. Les seules empreintes identifiées sur les bulles-enveloppes sont des bâtonnets, des cercles et des cônes qui représentent, comme nous le verrons plus tard, des valeurs numériques. En fait, nous ne savons toujours pas à quoi servaient ces jetons figuratifs, hormis le fait qu’ils devaient faire l’objet de conventions sociales bien établies pour avoir inspiré la forme des premiers pictogrammes de l’écriture urukéenne. On remarque ensuite des symboles abstraits transcrivant une idée ou un concept, tel qu’une gerbe de roseaux pour évoquer la déesse Inanna. Ces signes apparaissent en grand nombre dès l’apparition de l’écriture. Ils sont parfois simplifiés pour être tracés rapidement, comme le signe d’une croix à l’intérieur d’un cercle pour désigner un mouton. C’est une méthode que nous utilisons encore aujourd’hui pour inventorier des éléments répétitifs. On trouve enfin des signes composés, formés par l’addition ou l’imbrication de plusieurs signes. Ils permettent d’exprimer des notions complexes, comme la représentation stylisée d’une tête de vache et d’un filet d’eau pour désigner du lait, ou celle d’une écuelle et d’un épi pour traduire une ration alimentaire de céréales. Bientôt, l’adoption de signes composés et la combinaison des symboles – à la manière des rébus – vont permettre une diminution importante du nombre de pictogrammes, lequel se stabilise autour de huit cents au début du 3e millénaire. Très vite aussi, des déterminatifs sont inventés pour faciliter la compréhension d’un signe. Ainsi, le pictogramme de l’éventail qui symbolise le roi est placé devant celui d’un champ ou d’une jarre de bière pour préciser qu’il s’agit d’une propriété ou d’une cuvée royale. De même, le logogramme du textile précède tous les noms de vêtements. Plus tard la nécessité de noter des noms propres, puis des éléments grammaticaux, entraîne un passage au phonétisme : les signes sont utilisés aussi bien pour leurs sons que pour leurs sens. Ce phénomène semble se manifester dès les débuts de l’écriture. Le passage à un système syllabique, suscité par le phonétisme, est bien attesté vers 2800, dans des textes provenant d’Ur. Il trouve sa pleine utilisation lorsque, vers 2340 avant notre ère, les Akkadiens, devenus maîtres du pays, adoptent l’écriture cunéiforme sumérienne pour noter leur langue, malgré sa structure différente (2).
Les milliers de textes archaïques mis au jour à Uruk – niveaux IV et III – proviennent de l’enceinte du grand complexe palatial d’Eanna – la maison du ciel – en partie dédié à la déesse de la Ville, Inanna. Comme la majorité de ces textes représente les opérations d’une administration contrôlant de nombreux secteurs de l’économie – y compris le commerce à longue distance – il est probable que le palais ou ses dépendances abritaient des institutions contrôlant les ressources d’une grande partie de la population. Cela explique que 80 % des documents découverts à Uruk soient de nature administrative et reflètent les activités d’un grand centre économique. Les étiquettes sur lesquelles figurent des inscriptions rudimentaires sont particulièrement abondantes au cours des phases Uruk V et IV. Elles servent à sceller les bouchons des jarres dans lesquelles sont conservés des céréales, des légumineuses et des liquides tels que l’huile ou la bière. Lesdites jarres sont confinées dans les casiers de vastes greniers des maisons collectives. Ces étiquettes permettent d’identifier les contenus sans avoir à ouvrir les récipients. Les tablettes les plus nombreuses datent en grande partie de la période d’Uruk III. Elles consistent en pièces d’archives concernant les biens, les revenus et les dépenses de l’État. Les entrées et les sorties de marchandises sont soigneusement répertoriées, notamment celles qui concernent les denrées alimentaires comme l’orge, l’épeautre, les pois, les lentilles et les fèves, ou des textiles tels que la laine et le lin, ou encore des animaux comme les moutons, les chèvres, les ânes, les bœufs et les porcs. Certaines tablettes traitent des mouvements de personnel, de la surface des champs et de leur administration, ou récapitulent des opérations concernant l’élevage du bétail. Les nombreux toponymes qui sont mentionnés attestent que des transactions ont cours avec des contrées lointaines dans les montagnes d’Iran ou le pays de Dilmun, l’actuelle île de Bahreïn. Ces documents se caractérisent par une division de leur surface en colonnes et en cases, ces dernières contenant chacune une information unitaire. Ils font partie de dossiers souvent constitués de plusieurs pièces, dont les éléments d’informations se complètent. L’invention de l’écriture est par conséquent le fruit d’un effort délibéré et conscient de construire un système cohérent et hautement signifiant. Elle suppose une activité conceptuelle intense sur une période relativement courte. C’est la raison pour laquelle il ne peut exister de pré ou de proto-écriture. Les pictogrammes ont chacun une forme qui leur est propre et qui les caractérise, mais ils s’agencent aussi de multiples façons pour produire de nouvelles combinaisons ; ces dernières sont mémorisées et intégrées dans le système jusqu’à former parfois de véritables familles (3). L’écriture urukéenne est donc un système mixte, à la fois logographique – les signes désignant les mots de la langue – et phonétique – les signes désignant des syllabes.
Après avoir décrit et replacé le concept de l’écriture au sein de son environnement d’origine, il est intéressant de constater que son invention repose sur les principes fondamentaux de la perception des saveurs par le système gustatif. L’idée de conserver des denrées dans les casiers d’un grenier, à l’intérieur de jarres auxquelles sont fixées des étiquettes autour de leur col pour identifier leur contenu, présente d’étonnantes corrélations avec notre compréhension du fonctionnement de l’appareil gustatif. Chez l’être humain, la perception des saveurs est située dans de petites éminences appelées papilles, qui apparaissent à la surface de la langue. Dans ces papilles se situent les bourgeons du goût dont le nombre varie entre cinq cents et cinq mille selon l’individu. Ceux-ci sont chacun formés de cinq à dix cellules gustatives dont la forme et la disposition rappellent les douves d’un tonneau. Les extrémités supérieures des cellules gustatives affleurent à la surface de la langue et forment une petite fossette réceptrice qui constitue l’ouverture du bourgeon vers l’extérieur. Lors de l’absorption d’un aliment, les molécules sapides suscitent la perception d’une saveur. Dans la première étape de ce processus, elles sont reconnues par des récepteurs des cellules sensorielles dans le pore des bourgeons. Chacune de ces cellules a pour fonction de traduire le signal chimique par une série de signaux électriques dans les neurones gustatifs sous-jacents, dont l’ensemble constitue la signature de la molécule stimulante. Ce sont les associations répétées du stimulus et de l’ensemble des signaux électriques dans les neurones gustatifs qui permettent d’identifier la saveur. À ce stade, une première comparaison peut être faite avec l’invention urukéenne de l’écriture. En effet, ces signaux sont des codes comparables aux caractères graphiques des étiquettes servant à identifier les denrées contenues dans les jarres. Encodés par les neurones gustatifs, ils se déplacent via les nerfs crâniens jusqu’au noyau du faisceau solitaire situé dans le bulbe rachidien. Ils sont alors analysés, transformés et véhiculés par l’intermédiaire de relais successifs jusqu’au cortex cérébral (4). D’une façon analogue, les inscriptions figurant sur les étiquettes sont transcrites sur des tablettes d’argile et transférées à un coordinateur. Celui-ci les contrôle, les classe, et dresse un inventaire synthétisé qu’il présente au roi par l’intermédiaire du réseau administratif. Compte tenu de ces observations, il est intéressant de mettre en parallèle le codage des informations sensorielles du goût et le code employé pour la rédaction des étiquettes et des premières tablettes pictographiques. En ce qui concerne le codage nerveux du système gustatif, deux conceptions concurrentes ont été successivement proposées, celle des lignes dédiées et celle du codage ensembliste (ou lignes computationnelles). D’après l’hypothèse des lignes dédiées : les cellules gustatives sont classées en diverses catégories qui répondent spécifiquement à des stimulus représentant un prototype : sucré, salé, acide ou amer. Ce modèle a pour corollaires, d’une part la transmission des informations gustatives au cortex cérébral par des voies préservant la spécificité des classes de fibres, d’autre part la spécificité des bourgeons du goût et des cellules sensorielles dont la saveur est prototypique. En fait, la théorie des lignes dédiées est comparable à l’organisation des greniers dans les villages obéidiens du 5e millénaire. Les céréales et les légumineuses sont conservées en vrac dans les casiers. Chaque casier est occupé par une denrée spécifique. Les casiers à moitié vides sont donc inutilisables puisqu’on ne peut mélanger le blé, l’orge et le seigle. En fait, les Obéidiens n’éprouvent pas le besoin de structurer leurs greniers de façon plus complexe, car les notions de propriété et d’échange n’existent pas encore. L’obtention d’une quantité de céréales, pour l’ensemencement ou pour la consommation, est seulement soumise à l’approbation d’un aîné habilité à puiser dans les réserves. La conception d’un système d’étiquetage est donc inutile et le concept abstrait de l’écriture n’est pas découvert.
Or, concernant le système gustatif, une hypothèse de codage a été proposée plus récemment, lorsque les spécialistes se sont aperçus que les cellules gustatives n’étaient pas spécifiques. Selon cette théorie, c’est le profil des réponses de l’ensemble des cellules à un stimulus particulier qui construit la caractéristique essentielle du codage et constitue le signal permettant d’identifier le stimulus. Dans ce modèle ensembliste, le goût du saccharose, par exemple, est défini à partir de l’ensemble des réponses plus ou moins intenses ou muettes données par toutes les cellules gustatives (5). De fait, le codage ensembliste peut être assimilé à l’organisation des greniers collectifs dans les cités urukéennes au 4e millénaire. Les céréales et les légumineuses sont conservées dans des jarres. Chaque casier est maintenant occupé par plusieurs jarres contenant des denrées différentes. Les propriétaires des produits sont identifiés ainsi que l’usage auquel on les destine. En fait, avec le développement des échanges, l’information monodimensionnelle – la nature du produit – est devenue multifactorielle – la nature du produit + le propriétaire + l’usage prévu, etc. Il est donc nécessaire que les jarres portent autour du col des étiquettes sur lesquelles figurent ces informations. De même, il est devenu indispensable de récapituler ces données en les gravant sur des tablettes d’argile pour quantifier les stocks. On assiste alors à l’apparition de nouveaux dessins qui ne servent plus à représenter uniquement des objets, mais aussi des concepts ou idéogrammes.
Désormais, les motifs d’un pied et d’un épi (tablette CDLI n° P002086) signifient planter ou réensemencer – alors qu’une main et un épi (tablette CDLI n° P005406) traduisent le geste de donner, au sens de donner contre ou échanger – tandis qu’une tête, un bol et un épi (tablette CDLI n° P005094) représentent les rations de céréales distribuées à la population. En mémorisant ces dessins et en apprenant à les reconnaître, les Urukéens peuvent désormais conserver à l’esprit la nature et les quantités des produits disponibles dans un grenier, ainsi que leurs différentes affectations. En outre, cet agencement de pictogrammes, selon un certain nombre de combinaisons, offre la possibilité d’une infinité de concepts abstraits, à l’instar du codage ensembliste des cellules gustatives qui permet de discriminer une infinité de saveurs différentes. Il apparaît, en effet, que la présence d’un stimulus sur la membrane chémoréceptrice (ou chimioréceptrice) de l’ensemble des cellules sensorielles se traduit par une activation plus ou moins forte de certains neurones, tandis que d’autres restent muets. Cet ensemble d’unités activées et muettes compose un dessin – ou plus exactement un motif – qui dépend de la répartition des différents chémorécepteurs dans l’ensemble des cellules sensorielles. Ce motif apparaît toujours semblable, à chaque présentation d’une concentration identique du même stimulus, tout comme un idéogramme est toujours dessiné de la même façon pour décrire un concept identique. L’ensemble de ces motifs constitue un lexique dont la fonction est de permettre au système nerveux central d’identifier et de mémoriser les stimulus qui se présentent. De même, les inventeurs de l’écriture se sont efforcés de traduire avec des pictogrammes des expressions courantes, des actes et des évènements dont ils voulaient conserver une trace. En effet, si le pictogramme du pied signifiant aller – au sens de marcher – permet de signaler lorsqu’il est précédé ou suivi d’un épi d’orge le concept de planter, rien n’empêche d’ajouter le symbole indiquant une parcelle de terre labourée pour désigner un champ planté d’orge (tablette CDLI n° P002086). De surcroît, si ce champ appartient au roi, il suffit d’ajouter le symbole de l’éventail pour indiquer qu’il s’agit d’un champ d’orge royal. De même, le pictogramme de la main qui signifie donner – au sens de donner contre ou échanger – suivi des pictogrammes de l’huile , de la cité d’Uruk , et du roi peuvent résumer l’idée d’une « quantité d’huile remise dans la cité d’Uruk au Roi ». Dès lors, plus rien n’empêche de formuler des concepts comme celui de sortir, en accolant le pictogramme du jour – représentant le soleil se levant entre deux montagnes – à celui du pied ; ou encore celui de trouver – au sens de dénicher ou mettre au jour – en associant les pictogrammes du jour et de la main ; ou enfin l’idéogramme d’inventer ou d’imaginer en associant les pictogrammes du jour – qui symbolise aussi la lumière – et de la tête – dans le sens d’avoir une idée brillante ou lumineuse. Cette séquence de base devait être rapidement complétée par d’autres symboles grâce auxquels les Urukéens allaient concevoir d’autres idéogrammes pour exprimer de nouveaux concepts, comme l’attestent les tablettes d’argile mises au jour.
NOTES
(1) Glassner, J.-J. (2000)(2003).
(2) Labat, R. (1999) André-Salvini, B. (2001) Liverani, M. (2006).
(3) Sans, A. (2011)[Roi, P.; Girard, T. pp.69-71].
(4) Carleton, A. et al. (2010).
(5) Matsunami, H. et al. (2000) Faurion, A. (2004).
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TABLE DES ILLUSTRATIONS
Illustration de la ‘page à la une’ : Tablette pictographique urukéenne. © R.M.N. (Musée du Louvre) Paris. France. Photographie Raux, F.
1) (à gauche) Girard, T. Forest, J.-D. (à droite) Girard, T. D’après des pièces conservées au Vorderasiatisches Museum de Berlin.
2) Girard, T. D’après Labat, R. 1999. Manuel d’Epigraphie Akkadienne, revu et augmenté par Malbran-Labat, F.
3) Girard, T. Roi, P. D’après Labat, R. 1999. Manuel d’Epigraphie Akkadienne, revu et augmenté par Malbran-Labat, F. ; la CDLI (Cuneiform Digital Library Initiative) et la contribution de Englund, R.K.
4) (à gauche) Huot, J.-L. 2004. Une archéologie des peuples du Proche-Orient. (Tome 1). P 63. Courtoisie de l’auteur. (en haut à droite) L’Orient Ancien. P 195. Photographie Hauptman, H. Académie des sciences d’Heidelberg. (en bas à droite) Girard, T. D’après Huot, J.-L. 2004. Une Archéologie du Proche-Orient. Volume 1. Des premiers villageois aux peuples des cités-États (Xe–IIIe millénaire av. J.C.).
5) A) Bibliothèque d’Ebla. 2005-2013© Clio La Muse ; B) vue d’artiste d’un grenier avec ses jarres. Girard, T. Roi, P.
6) (à gauche) Girard, T. D’après Netter, F. Felten, D. L. Atlas de Neurosciences humaines de Netter. 2003. P 222. Fig III. 9a. (en haut à droite) Faurion, A. 2004. Physiologie sensorielle à l’usage des IAA. P 142. Fig F. Nagy et al. 1982. Courtoisie de l’auteur. (en bas à droite) Purves, D. et al. 2005. Neurosciences. P 358. Fig 14.14c.
7) A) Faurion, A. 2004. Physiologie sensorielle à l’usage des IAA. P 162. Fig 17b. D’après Yamamoto, T. Kawamura, Y. 1972. Courtoisie de l’auteur ; B) Girard, T. D’après The Mind’s Machine. Fig 6.17.
8) (à gauche) Girard, T. (en haut à droite) Girard, T. Faurion, A. (en bas à droite) Girard, T. Roi, P.
9) Girard, T. Roi, P.
10) (à gauche) A) Faurion, A. 1992. Le sucre, les sucres, les édulcorants et les glucides de charge dans les IAA. P 24. Fig 5. Courtoisie de l’auteur ; B) Ishimaru, Y et al. 2012. Expression Analysis of Tate Signal Transduction Molecules in the Fungiform and Circumvallate Papillae of the Rhesus Macaque, Macaca Mulatta. Vol 7/9. P 7. CCAL (Creative Commons Attribution Licence). (à droite) Organisations des greniers urukéens. Girard, T. Roi, P.
11) Girard, T. Roi, P. Tablette n° CDLI P002086 et n° CDLI P005406. © Vorderasiatisches Museum. Berlin. Germany. Tablette n° CDLI P005094 © National Museum of Iraq, Baghdad.
© 2013. La Théorie Sensorielle.